« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs »
(Jacques Chirac – IVe sommet de la Terre, en 2002 à Johannesburg)

Les années ne passent pas sans laisser de traces !
Aujourd’hui, nous n’avons que peu de choix : soit nous agissons rapidement pour prendre des mesures, soit nous observons passivement tout en étant conscients des catastrophes climatiques qui vont accabler notre devenir, et celui des générations futures …

On ne peut plus ignorer ni sous-estimer ce qui nous attend, car les issues possibles sont restreintes.
S’obstiner à ne pas vouloir s’ouvrir rapidement à un changement général de comportement, tendra irrémédiablement vers l’extinction du genre humain.
En regard du faible seuil d’évolution actuel face aux divers constats concernant le dérèglement climatique, et notamment aussi à la non-reconnaissance des avertissements prodigués par la communauté scientifique, il faudrait un sursaut miraculeux de la conscience collective pour stabiliser l’existant, ce qui n’est pour l’instant pas gagné.

Cessons de nous voiler la face, et revenons à la réalité du monde d’aujourd’hui. Un naufrage planétaire nous guette, il est temps d’en prendre conscience !

C’était il y a plus de 20 ans, un discours toujours d’actualité, mais qu’avons-nous voulu entendre, qu’avons-nous compris ?

Les quatre éléments de la vie : la Terre, l’Air, l’Eau, le Feu.
L’Homme ne peut vivre sans eau, sans soleil, sans respirer, sans la terre pour se nourrir, c’est un système interconnecté immuable et équilibré.
Une nouvelle ère géologique, l’Anthropocène l’âge de l’homme, est venue bouleverser cet équilibre qui s’est fragilisé par une surexploitation boulimique, amenuisant les multiples ressources disponibles jusqu’à leur épuisement.

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