Il bourlingue entre Suisse et France, et s’imprègne profondément des milieux naturels qu’il visite pour prendre de belles images de cette nature sauvage encore intacte. Une fois de plus il nous emmène sur ses pas à la découverte d’ophidiens, de lépidoptères, d’insectes, de la faune avicole, de la faune en général. Une overdose oculaire sur la beauté de notre environnement !
Il est une beauté sensible dans le seul son de ces mots « la bonne terre ». Ils suggèrent à notre esprit la vision des divers éléments et forces de la nature travaillant en pleine harmonie. De tout temps l’imagination des hommes a été enflammée par la conception d’une « symphonie de la terre » … Fairfield Osborn – « La planète au pillage » 1948
Les glaciers des Alpes dans leur ensemble, sont soumis à un réchauffement exponentiel, d’une ampleur qui laisse présager de leur fin dans un avenir très proche.
Les conséquences ▶ Augmentation du niveau de la mer : Les glaciers jouent un rôle crucial dans le maintien de l’équilibre hydrologique de la Terre. ▶ Pénurie d’eau douce : Les glaciers sont également une source importante d’eau douce. Leur fonte fournit de l’eau aux rivières et aux réserves souterraines pendant les périodes de sécheresse. ▶ Perturbation des écosystèmes : Les glaciers abritent une biodiversité unique, adaptée à des conditions froides et spécifiques. ▶ Changements climatiques accélérés : Les glaciers jouent un rôle important dans la régulation du climat en réfléchissant une grande partie du rayonnement solaire dans l’espace. ▶ Impact sur l’économie et les communautés : De nombreuses régions dépendent du tourisme lié aux glaciers pour leur économie locale.
17 juin 2023 à13h45 à Tschiervaglacier en Suisse. Spectaculaire effondrement de parties d’un glacier suspendu
Comparaisons récentes de 2023 avec le passé des glaciers de la Bernina en Suisse
Les Alpes se désagrègent sous nos yeux. Les scientifiques spécialistes des Alpes constatent une accélération de la dislocation, en liaison directe avec le réchauffement climatique. La hausse des températures, notamment lors de canicules entraînent non seulement la fonte et le recul des glaciers, mais aussi le dégel du permafrost, les parties du sol qui ne dégèlent jamais, qui a pour rôle d’agglomérer la roche. C’est tout un équilibre qui se fracture !
Il se déplace, il randonne, prend son temps, parfois pendant de longs instants il observe. Et clic, il appuie sur son déclencheur, mitraille au besoin pour obtenir le meilleur. Il en connaît un bout sur les oiseaux régionaux ! Lors de ses déplacements, il les identifie parfaitement et si le doute s’insinue, il puise dans sa documentation très exhaustive. S’il croise des mammifères ou des insectes, il les observe à l’identique, et de même, il n’hésite pas à les fixer pour la postérité.
Un jour au hasard de l’une de ses randonnées, lors de la rencontre fortuite avec un loup à six kilomètres du centre de la ville de Genève, il a eu l’aubaine de quelques beaux clichés.
Super Denis ! Tout en sensibilité et plein d’empathie pour cette nature que nous devons préserver et envers qui nous avons un devoir de protection. Ses photos nous révèlent un magnifique témoignage de ce qu’il est encore possible de sauvegarder.
Selon une information relatée par le média Huffpost, il semble que le protocole de Montréal signé en 1987 qui avait pour objectif de préserver la couche d’ozone, soit bénéfique pour un ralentissement de la fonte des glaces du pôle Nord. Et si cela est avéré, en soi c’est une bonne nouvelle permettant de reculer une échéance climatique et qui démontre l’illustration d’initiatives positives. Mais il faut encore beaucoup plus de volonté collective pour enrayer l’accroissement du dérèglement du climat. La signature de ce protocole en 1987 prouve bien qu’il est possible d’agir communautairement à l’échelle de la planète.